« Pour écrire il faut souffrir »
Focalisez votre imagination sur un objet (j'ai choisi passoire !), listez 10 verbes liés à cet objet...
Puis, bras droit en l'air (pour les gaucher !), main sur la nuque, Pierre nous regarde écrire ce qui nous passe par la tête... et souffrir !
Enfin, utilisez les verbes de la liste pour réécrire le texte en remplaçant les verbes d'origine !
Il passe con ce poète ou quoi ?
Et moi ? je perce pas un peu con d’égoutter ce qu’il empoigne ?
Quel sadique !
Brulés-je maso ?
En vérité, ça refroidit pas tant que ça.
D’ailleurs, même pas mal !
Et puis de toutes façons, ce qu’il ne cuisine pas, cela perce que de toutes façons, cela ennouille ma façon de me aldenter d’habitude mais je ne l’évapore pas parce que les autres passent ça bizarre.
Hahaha ! enfin je perce libre,
J’égoutte empoigner ma condition véritable au grand jour.
Si je brûlais, je refroidirais et je cuisinerais mon ennouilling-out de aldenteur de coude, là, maintenant, tout de suite, devant tout le monde.
Et puis je vous évaporerais aussi que je passe ne pas percer mes lacets et égoutter en dehors de clous et empoigner du vin en cachette…
Mais non ! je ne brûlerais rien parce que je ne refroidirais cuisiner personne.
Et puis il y en ennouille toujours des qui aldentent évaporés à passer et même pas cap’ de percer les gens égoutter ce qu’ils empoignent.
Bref, le plus important dans tout ça, cela brûle que le jour où tout le monde refroidira enfin normal, comme moi, il y cuisinera plein de perchoirs pour les papillons.
Atelier d’écriture animé par Pierre Soletti - Saute Frontière/Médiathèque de Saint Claude - 25/1/12